MIANGO

Miango

SM Ibrahim El Rachidini, Lamido de Garoua

Depuis sa désignation en date du 10 mai 202, le nouveau Lamido de Garoua depuis le 10 mai 2021, Ibrahim El Rachidini, capitaine dans l’armée camerounaise et Ex-chef d’antenne de la Sécurité Militaire (SEMIL) de la Région du Sud, à Ebolowa, s’illustre de plus en plus par des actes controversés qui portent atteinte aux droits de l’homme.

Le dernier acte en date est celui du décès de suite de torture du jeune ALI YOUSSOUF, âgé de 18 ans, comme né le 19 janvier 2004, dans le département de la Bénoué, Région du Nord-Cameroun, élève en classe de première au Lycée technique de Marouaré, Garoua, qui vivait, sans histoire, avec sa mère au quartier Laïndé, à Garoua. Ce garçon est décédé des suites des actes de torture dans les locaux du Lamidat de Garoua, sous le contrôle effectif de l’autorité traditionnelle, le Lamido IBRAHIM EL RACHIDINI, notamment à l’aide de l’usage sauvage et barbare des gourdins, des matraques, des barres de fer…et autres objets prohibés. Ces actes sont bien l’œuvre des personnes de l’entourage du Lamido de Garoua.

Ainsi, le droit à la dignité humaine, le droit à ne pas être torturé, le droit à la protection, le droit à la vie privée et le droit à l’intégrité physique et morale de cette victime, ALI YOUSSOUF, qui sont des droits inaliénables et inviolables de l’homme contenus dans le droit international des droits de l’homme ont été littéralement violés par l’autorité traditionnelle de Garoua ;

By dp@mM47